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Date de création : 21.05.2008
Dernière mise à jour : 01.03.2013
48 articles


Souffrance

Faut-il souffrir ?

Si nous sommes enfants (de Dieu), nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. (Romains 8: 17).

Souffrir, c’est ressentir ou supporter … la douleur, de la peine, ou simplement de la gêne. Il y a différentes douleurs, différents maux :
– Les douleurs utiles qui indiquent que le corps ou l’âme est en danger, qu’il est attaqué.
– Les douleurs inutiles qui viennent de l’ennemi, simplement pour faire souffrir.

Dieu nous dit que "nous serons glorifiés avec Christ SI nous souffrons avec lui".
Voyons à la lumière de la Parole de Dieu les explications de cette phrase.
Afin de vaincre le péché, il est important que les souffrances de Christ à la croix soient ressenties personnellement par chaque croyant car il faut bien comprendre que Jésus a souffert le châtiment qui était le nôtre ; nous devons nous mettre mentalement à la place de Jésus sur la croix, faire nôtres sa souffrance et sa mort, et en conséquence en ressentir de la peine et avoir de la reconnaissance.
… sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché fût détruit, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ; car celui qui est mort est libre du péché. (Romains 6: 6-7).

Déjà avant le sacrifice de Jésus, l’Éternel est le Dieu qui guérit :
Si tu écoutes attentivement la voix de l'Éternel, ton Dieu, si tu fais ce qui est droit à ses yeux, si tu prêtes l'oreille à ses commandements, et si tu observes toutes ses lois, je ne te frapperai d'aucune des maladies dont j'ai frappé les Égyptiens ; car je suis l'Éternel, qui te guérit. (Exode 15: 26).

C’est aussi dans le cadre de la préparation à la résurrection, donc au salut :
Nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. (Romains 8: 22-24).

Dieu nous commande et met dans l’esprit de ses enfants :
– De L’aimer plus que tout, de L’adorer :
Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. (Marc 12: 30).
Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. (Matthieu 4: 10, Luc 4: 8).
– De nous aimer les uns les autres :
Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. À ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. (Jean 13: 34-35).
– D’aimer notre prochain comme nous-mêmes :
Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ; et : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. (Matthieu 19: 18-19).
– D’aimer nos ennemis :
Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains n’agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraor­dinaire ? Les païens n’agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. (Matthieu 5: 43-48).

En conséquence, l’enfant de Dieu ne se rebelle pas contre ceux qui lui font du mal, qui le persécutent, mais il prie pour eux et leur fait du bien autant qu’il le peut (sans qu’ils le ressentent comme du mal).
Nous souffrons la faim, la soif, la nudité ; nous sommes maltraités, errants çà et là ; nous nous fatiguons à travailler de nos propres mains ; injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous supportons ; calomniés, nous parlons avec bonté ; nous sommes devenus comme les balayures du monde, le rebut de tous, jusqu’à maintenant. (1 Corin­thiens 4: 11-13).
Puisque nous travaillons avec Dieu, nous vous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. Car il dit : Au temps favorable je t’ai exaucé, au jour du salut je t’ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. Nous ne voulons scandaliser personne en quoi que ce soit, afin que le ministère ne soit pas un objet de blâme. Mais nous nous rendons recom­man­dables à tous égards, comme serviteurs de Dieu, par beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses, sous les coups, dans les prisons, dans les séditions, dans les travaux, dans les veilles, dans les jeûnes ; par la pureté, par la connaissance, par la longanimité, par la bonté, par l’Esprit saint, par un amour sincère, par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice ; au milieu de la gloire et de l’ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation ; étant regardés comme imposteurs, quoique véridiques ; comme inconnus, quoique bien connus ; comme mourants, et voici nous vivons ; comme châtiés, quoique non mis à mort ; comme attristés, et nous sommes toujours joyeux ; comme pauvres, et nous en enrichissons plusieurs ; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses. (2 Corin­thiens 6: 1-10).
Enfin, soyez tous animés des mêmes pensées et des mêmes sentiments, pleins d’amour fraternel, de compassion, d’humilité. Ne rendez point mal pour mal, ou injure pour injure ; bénissez, au contraire, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin d’hériter la bénédiction. (1 Pierre 3: 8-9).

Si quelqu’un pèche :
Celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur. Que donc chacun s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe ; car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. (1 Corin­thiens 11: 29).
C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts. Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. (1 Co­rin­thiens 11: 30-32).
Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang, en luttant contre le péché. Et vous avez oublié l’exhortation qui vous a été adressée comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu’il te reprend ; car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. (Hébreux 12: 4-6).
Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l'empêchent de vous écouter. (Ésaïe 59: 2).

Donc, si je me conduis dans la justice de Dieu, je ne suis pas châtié par Dieu. Le mal que je reçois alors ne vient pas de Dieu mais de l’ennemi spirituel.
– Si le mal ne vient pas par l’intermédiaire des hommes, s’il vient par exemple sous forme de maladie, il faut seulement prier et maîtriser les forces de l’ennemi. Si ça n’a pas été fait lors de la conversion, il faut pardonner parmi les vivants (la prière aux morts ou pour eux est une abomination) tous ceux qui ont fait du mal aux parents, comme à soi-même, et pardonner ceux qui en font encore. Il faut, au nom de Jésus, briser toute malédiction venant des péchés des parents ou des ancêtres, comme de soi. Quand ça a été fait, il suffit de rappeler à l’ennemi qu’il n’a aucun droit sur soi car, pour tous les enfants de Dieu, Jésus est devenu maudit sur la croix à notre place, et a pris sur Lui nos péchés et nos malédictions. Cela ne dispense personne de devoir pardonner.
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous — car il est écrit : Maudit est quiconque est pendu au bois — afin que la bénédiction d’Abraham ait pour les païens son accomplissement en Jésus-Christ, et que nous recevions par la foi l’Esprit qui avait été promis (Galates 3: 13-14).
– Si le mal vient par l’intermédiaire des hommes, il faut en plus supporter, ne pas rendre le mal pour le mal, mais prier pour ceux qui font le mal, et si possible leur faire du bien, sans se mettre en position de recevoir à nouveau du mal. Ce que nous pensons ou savons être du bien, les autres ne le reçoivent pas forcément comme du bien. C’est le droit de chacun d’accepter ou de refuser.

Et puis il y a la foi agissante du juste :
Ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. (Romains 3: 24).
… celui qui croit en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est imputée à justice. (Romains 4: 5).
Jésus vous dit : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. (Marc 11: 24).
En Jésus Christ, ni la circoncision ni l’incirconcision n’ont de valeur, mais seulement la foi qui est agissante par l’amour. (Galates 5: 6).
Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. (Jacques 4: 7).
Quelqu’un parmi vous est-il dans la souffrance ? Qu’il prie. Quelqu’un est-il dans la joie ? Qu’il chante des cantiques. Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. (Jacques 5: 13-15).
Cependant, il y a eu le cas de Job accusé par Satan, où le Seigneur a testé sa loyauté, son endurance dans la justice. Mais maintenant nous sommes sous la grâce de Dieu, dans son amour, et nous avons Jésus-Christ pour avocat auprès du Père.
Mes petits enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. (1 Jean 2: 1-2).

Il y a aussi le "social" qui peut être une gêne à la guérison. Si vous avez un handicap quelconque pour lequel vous percevez une allocation, vous ne pourrez recevoir la guérison divine que si vous acceptez que l’allocation liée à votre handicap puisse cesser aussi, ce qui est normal, car c’est la justice. En effet, l’allocation que vous percevez est liée à votre handicap : Vous percevez cette allocation parce que vous êtes handicapés, mais réciproquement, tant que vous voudrez garder cette allocation, vous devrez garder le handicap pour lequel vous percevez l'allocation.

Quand on croit que tous les recours libératoires ont échoué, si Jésus ne nous dit pas personnellement, comme à l’apôtre Paul, que Sa grâce nous suffit, car c’est avec notre faiblesse que Jésus est fort en nous, c’est qu’il trouve encore une raison de nous humilier par la souffrance ou la maladie, c’est que nous avons encore une mauvaise conduite actuelle à quelque part, ou ancienne non confessée, non pardonnée.
Et pour que je ne sois pas enflé d’orgueil, à cause de l’excellence de ces révéla­tions, il m’a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan pour me souffleter et m’empêcher de m’enorgueillir. Trois fois j’ai prié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans ta faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ ; car, quand je suis faible, c’est alors que je suis fort. (2 Corinthiens 12: 7-10).

En conclusion, frères et sœurs en Christ, ne vous soumettez pas à l’ennemi spirituel (aux puissances des ténèbres : à Satan et ses démons) qui vous fait souffrir injustement. Dieu nous a donné toutes les armes nécessaires pour le combattre et le vaincre. Si vous souffrez de la part de Dieu, ça ne peut pas être de manière injuste. Qui dit faute dit châtiment, c’est paternellement logique et juste. Et puis, le chrétien est heureux de subir des outrages parce qu’il sert le Seigneur.
Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous traite ; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas ? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des enfants illégitimes, et non des fils. D’ailleurs, puisque nos pères selon la chair nous ont châtiés, et que nous les avons respectés, ne devons-nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ? (Hébreux 12: 6-9).
Les apôtres se retirèrent de devant le sanhédrin, joyeux d’avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de Jésus. (Actes 5: 41).


Vidéos de l’enseignement sur la guérison divine :
"La guérison divine, par Jean-Marie Ribay"
"Guérison par la prière ou miracle"

 

 

Article de Jeanclaude716 du 10.01.2009 La grâce de Dieu

 

"... toute grâce excellente et tout don parfait descendent d'en haut, du Père des lumières, chez lequel il n'y a ni changement ni ombre de variation." Jacques 1: 17

Voilà qui est dit, les bénédictions que nous vivons viennent de Dieu comme un don irrévocable. Nous voyons aussi qu'il ne se trouve pas dans le coeur de Dieu de possibilité de changement ou de variation. Lorsqu'Il donne Il ne reprend pas !

Bien sur, il existe de multiples textes qui nous disent que la grâce est réservée au juste. Certes une conduite sanctifiée nous permettra de produire encore plus avec les bénédictions reçues de Dieu mais la justice de l'homme n'est pas une vraie condition pour recevoir le don d'en haut.

" ... selon qu'il est écrit: Il n'y a point de juste, pas même un seul." Romains 3: 10

Voilà qui nous met tous d'accord, il n'y a personne parmi les hommes qui peut se prétendre juste et donc revendiquer la grâce de Dieu par ses oeuvres.

Dieu donne parce que Dieu est Bon!

Nos œuvres bonnes ne sont que le fruit de la prime bonté de Dieu dans notre vie. Nos oeuvres n'achètent rien, ne compensent rien, ne nous élèvent à aucun rang.

Si donc aucun homme n'est juste, lorsqu'Il nous permet de trouver le salut par sa grâce, c'est bien un acte d'amour qu'il fait envers des gens pour qui Il est jusqu'alors indifférent voire ennemi.

Je mesure encore aujourd'hui la beauté de cette grâce qui me fut faite alors que j'étais errant dans cette société malade.

Mais ces derniers temps, alors que l'ennemi m'avait promis forts désagréments, la ruine mentale et spirituelle, voilà que je surfe de dons en dons inespérés.

Pourquoi? Suis-je si juste? Si bon? Mon Dieu est Bon!

Il a touché les coeurs de bien des personnes pour que je puisse accéder à des bénédictions dont je ne pouvais même pas rêver.

C'est pour cela que la grâce de Dieu est un don sans condition. Elle est juste conditionnée par l'amour de Dieu. Tant que Dieu continuera à nous aimer nous serons au bénéfice de cet amour. Comme l'amour de Dieu est éternel, point de souci pour nous, il faut juste se rappeler d'où vient la source de notre joie.

 

 

Article de Jeanclaude716 du 11.01.2009 La grâce qui semble coûter !

 

Poursuivant le sujet sur la grâce de Dieu, je vais aller maintenant vers ceux qui lisant mon article de hier, pensent que si recevoir la grâce ce n'est recevoir que du bien, beaucoup de gens parmi les croyants ne sont pas sous la grâce.

La grâce est un don de Dieu obligatoirement bénéfique au croyant. Cependant, Dieu qui connaît toutes choses cachées que nous ne voyons pas connaît quel est le meilleur chemin pour nous. Ce chemin est quelquefois mélé d'embûches et de problèmes divers mais reste celui du don parfait de Dieu.

"... car il vous a été fait la grâce, par rapport à Christ, non seulement de croire en lui, mais encore de souffrir pour lui." Philippiens 1: 29

Oui, souffrir pour Lui est aussi un don parfait de Dieu que nous ne comprenons pas toujours lorsque nous sommes dans l'épreuve.

Les évangiles nous invitent à être heureux de recevoir de faux témoignages à cause de notre foi, d'être heureux comme Pierre d'avoir été trouvé digne d'être flagellé pour Christ.

Mais j'irai plus loin dans les énoncés de la grâce "qui nous coûte". Être dans la maladie, le chômage ou le problème insurmontable et rester maître de sa foi en criant encore "abba Père", est une grâce donnée d'en haut.

On entend souvent que souffrir pour Christ c'est supporter les afflictions parce que l'on a témoigné de Lui par la prédication.

On témoigne de Lui dans toutes les circonstances de notre vie en restant droit dans la souffrance, en espérant dans la douleur et en pardonnant dans l'injustice.

Il y a des personnes qui n'ont jamais préché l'évangile et qui ont été des sujets d'interrogations sur la foi à cause de leur dignité dans l'épreuve.

Ces épreuves ne sont pas la grâce de Dieu. La force qui nous est donnée de les surmonter est la grâce de Dieu.

Que chacun d'entre nous soit ce jour encore trouvé digne du don parfait de Christ.

 

 

Article de IFENJC42 du 27.04.2009
Les secrets de la confiance en soi par Joyce Meyer

 

"Car ce n'est pas un esprit de timidité, de lâcheté ou de défaitisme que Dieu nous a donné, mais un esprit de courage, d'amour et d'enthousiasme, c'est un esprit actif et aimant qui nous donne un jugement sain et une parfaite maîtrise de nous-mêmes." 2 Timothée 1: 7 (Parole vivante)

Chaque cause produit un effet. Je crois que les individus qui ont confiance en eux détiennent des secrets qui peuvent aider ceux qui sont aux prises avec l'insécurité. Laissez-moi vous en partager quelques uns !

Ayez conscience d'être aimé ! Nous pouvons expérimenter l'amour de Dieu au travers de notre relation avec Lui et avec les personnes qu'il place sur notre chemin. Je suis persuadée qu'il est important d'établir ce que j'appelle des "connections divines". En d'autres termes, vous devez prier pour le choix de vos amis. Fréquentez-vous des personnes qui ont tendance à vous fortifier et vous encourager ou qui, au contraire, vous découragent et vous détruisent ? Vous pouvez choisir les personnes avec lesquelles vous allez passer votre temps. Recherchez la compagnie de gens qui vous aiment tel que vous êtes et apprécient vos dons et vos qualités spécifiques.

Refusez de vivre dans la peur ! "Je ne craindrai pas !" est la seule attitude acceptable face à la peur. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez jamais avoir peur, mais simplement que vous ne pouvez pas laisser la crainte diriger vos décisions et vos actes. La peur ne vient pas de Dieu. C'est un outil dont le diable se sert pour empêcher les hommes de jouir de leur vie et de devenir ce que Dieu veut qu'ils soient.

Soyez positif ! La confiance et l'esprit négatif ne font pas bon ménage. J'étais très négative, mais grâce à Dieu, j'ai fini par apprendre qu'il valait mieux être positif dans la vie. J'ai grandi dans une ambiance négative, au milieu de gens négatifs, de sorte que je suis devenue comme eux. Je ne connaissais simplement rien d'autre. Cependant, après avoir épousé Dave, qui est constamment positif, j'ai pris conscience que mon esprit négatif était une habitude avec laquelle je devais rompre. Être positif ou négatif est un choix qui détermine vos pensées, vos attitudes, vos actions et vos habitudes. Faites le choix d'être positif !
Ces secrets vous aideront à avancer sur le chemin de la pleine confiance. Si vous êtes en proie à un sentiment d'insécurité et un manque de confiance, il vous reste beaucoup à apprendre. Mais courage, vous allez y arriver !

Une action pour aujourd'hui
Appropriez-vous ces secrets ! Ils représentent un premier pas important et, j'en suis certaine, se révéleront aussi efficaces pour vous qu'ils l'ont été pour moi.

 

Message de Jacques Beauvert : "Pourquoi la souffrance ?"

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